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23 FEB

La Presse autour du Château Malherbe

LE GUIDE DES MEILLEURS VINS DE FRANCE 2024 PAR LA REVUE DU VIN DE FRANCE 

Sébastien Ferrari : un Provençal amoureux du terroir : À la pointe du cap Benat, derrière la résidence du fort de Brégançon, le terroir de Malherbe se partage en deux parcelles distinctes, de part et d’autre du château. Une zone argilo-schisteuse à l’ouest et une autre plus limoneuse avec des éclats de quartz à l’est. Toutes les deux font face à la mer qui apporte son influence salvatrice. Ce potentiel magnifique est encore valorisé par des complantations en massales et une agriculture menée en biodynamie. À l’œuvre : le propriétaire Sébastien Ferrari et Jean Laburthe, aux commandes depuis que l’Alsacien Jannick Utard est remonté dans le nord sur les terres familiales. Tous deux sont épaulés par l’excellent vigneron- éleveur bourguignon Philippe Pacalet. Et puis Sébastien Ferrari a la vista : au moment de modifier les structures du domaine, il va à l’encontre de ce qui se fait dans cette zone touristique : le propriétaire favorise l’outil de production pour vinifier au plus près du parcellaire, au détriment des installations de réception des visiteurs. Le choix est fort, surtout en terres provençales, les vins en sortent grandis dans les trois couleurs. Chaque année, le domaine conforte un peu plus sa place parmi les ténors provençaux des vins de terroir.

Château Malherbe : Depuis 2020 la propriété de la famille Ferrari a pris une nouvelle dimension, faisant de ce vignoble situé en bord de mer derrière le Fort de Brégançon, l’un des meilleurs de Provence. Sébastien Ferrari a abandonné le projet de cave pharaonique et de site oenotouristique pour se recentrer sur l’essentiel : ses vignes, réparties en deux ilots distincts. Les terres argiloschisteuses qui produisent le Grand Vin, et l’autre de limons, éboulis et quartz, la cuvée Pointe du Diable. Les complantations en massales de Lilian Bérillon viennent remplacer les raisins qui peuvent manquer, des échalas viendront protéger les raisins du soleil et la biodynamie rafraichit les vignes. Conseillé par le vigneron bourguignon Philippe Pacalet et dirigé par Jean Laburthe (Maravilhas dans le Gard et La Janasse à Châteauneuf-du-Pape), le domaine, qui ne produit pas plus de 50 % de rosés et entend diminuer ce volume, nous enchante dans les trois couleurs. Après son entrée dans le guide l’an dernier, il prend sa première étoile.

Les vins : Les rosés sont d’authentiques vins de terroir. Pointe du Diable, grenache et sémillon, est un original, issu de sables limoneux et fragments de quartz, dans un mélange parfumé de buis, d’iode et de résine. Le côtes-de-provence rosé 2022, plus étoffé, encore plus pulpeux, est pourvu d’une puissante salinité et d’une présence tannique qui forcent le respect. Dans Pointe du Diable blanc, le sémillon vient épauler l’ugni blanc dans une cuvée délicate et saline, iodée, aux parfums de fleurs, arômes de tilleul et franchise aérienne, ne titrant que 12,5°. On laisse de côté le blanc classique 2021, encore boisé, pour déboucher Grand Vin blanc 2021: floral d’une franchise exotique, une gourmandise aux amers délicieux. Le rouge Madame Ferrari pinote à la provencale. Pointe du Diable rouge 2021 possède la profondeur vigoureuse d’une syrah de bord de mer qui la construit à 85 %, quand le côtes-de-provence rouges offre sanguin, sur une pointe de violette et des tanins épicés dignes des plus grands vins de garde.

 

NOUVEAU GUIDE BETTANE + DESSEAUVE 2024

Depuis 2007, Sébastien Ferrari gère avec exigence ce domaine viticole idéalement situé entre la mer et le massif des Maures. Les vignes sont cultivées avec soin et avec le millésime 2013, Malherbe est passé à l’agriculture biologique. Les vins sont produits à partir de deux terroirs distincts : la Pointe du Diable, en front de mer est constituée de limons anciens chargés de quartz, et Malherbe, au pied du cap Bénat, une des pointes argilo-schisteuses située la plus au sud du massif des Maures. Le style des différentes cuvées met l’accent sur la buvabilité et toutes feront merveille à table. Spectaculaire progression ces derniers millésimes. Les vins sont à classer parmi l’élite de la Provence.

 

LE JOURNAL DU DIMANCHE – 3 décembre 2023 – Marie-Charlotte Wambergue

Au pied du fort de Brégançon, il y a la Méditerranée, le soleil et le vent qui caresse les vignes du château Malherbe. C’est l’histoire d’une famille amoureuse d’un lieu, de sa beauté et de ses vins.

Route du bout du monde, l’adresse du château Malherbe ne laisse aucun doute. Le lieu est magnifique. À gauche, le fort de Brégançon, lieu de villégiature des présidents de la République; en face, la mer scintillante autour des îles d’Or. Ce qui était autrefois la ferme en permaculture du fameux fort s’étend aujourd’hui sur soixante hectares, dont vingt-cinq plantés de vignes. L’endroit a été investi en 1938 par la famille Ferrari, d’origine lyonnaise, pour y passer ses vacances et s’adonner à sa passion de la pêche. Un petit port naturel se cache avec son garage à bateaux au bout d’une parcelle de vignes. Au milieu des années 1950, la troisième génération des Ferrari sur ces terres décide de convertir le domaine en vignoble en respectant les deux terroirs radicalement différents qui le composent. L’un sablonneux, l’autre argilo-schisteux, ils sont tempérés par la mer qui lèche les parcelles et donne aux vins un côté salin qui appelle l’assiette. Déjà à l’époque, la famille est sans concession pour ce qui concerne les pesticides et autres intrants qui pourraient polluer leur terre. Bio dès ses débuts, même si le concept était loin d’être encore né, le domaine est désormais cultivé en biodynamie et certifié Demeter. Ses principaux cépages sont le grenache et le sémillon auxquels s’ajoutent rolle, mourvèdre, syrah, cinsault et ugni blanc. Sébastien Ferrari, un des deux frères de la quatrième génération, insiste sur le côté très traditionnel de ses vins. Ici, pas de rosés clairs (il les nomme « les rosés lifestyle ») ni de négoce, mais des vins de gastronomie. Récoltés manuellement, les raisins connaissent un pressurage délicat ou un pigeage au pied et un élevage en cuves inox ou en fûts de chêne. Un travail artisanal et un interventionnisme minimal, certes très coûteux, que la famille revendique fièrement. L’idée est de faire très bien des vins de terroir qui allient fraîcheur, équilibre et complexité, « le modèle bourguignon en Provence ». La propriété produit environ 45 % de vin rosé, 30 % de blanc et le reste en rouge. La cinquième génération promet elle aussi d’être hermétique aux effets de mode.

Pointe du Diable 2021 : La version rouge de cette cuvée qui constitue l’entrée de gamme de la propriété existe depuis vingt ans, mais elle a évolué ces trois dernières années. Son assemblage à dominante syrah, complétée de grenache, inclut désormais de jeunes parcelles. Très joli nez et bouche en accord qui révèle l’entière palette aromatique de la syrah avec un côté très cuir et une touche de violette. Fraîcheur et gourmandise.

Château Malherbe 2021 : Si la syrah domine toujours, elle est ici assemblée au mourvèdre et au grenache. Ceux-ci lui donnent un côté compoté, tandis que les terroirs de schistes lui apportent une expression plus complexe et enrobée.

Madame Ferrari 2021 : C’est le second millésime de cette micro-cuvée issue des plus vieilles parcelles de grenache, mourvèdre, cinsault et rolle, assemblés à parts égales. Beaucoup de fruit et d’élégance donnent à ce rouge de macération, d’infusion, à la couleur très pâle, la capacité de s’adapter à nombre de plats.

 

Chais d'oeuvre - septembre 2023 - Manuel Peyrondet

"Un vrai bijou Provençal, dont les grands blancs ont toujours marqué les passionnés de sémillon... Les derniers millésimes, signés par Philippe Pacalet, sont à se damner ! À goûter absolument ! » Chers membres, ce n’est pas parce que le soleil fait son apparition en début de semaine que Chais d’œuvre se met en mode parasol, pieds dans le sable, apéros entre potes... Non, c’est d’un grand terroir dont on parle ce soir, d’un très grand terroir même et surtout d’un diamant brut que le génial Philippe Pacalet sculpte avec talent. Pour ceux qui suivent nos présidents en vacances, vous n’aurez pas de mal à situer le Fort de Brégançon et son vignoble voisin, Malherbe, dont le vignoble en parcellaires met en relief toute la richesse géologique de La Londes connue en Provence pour ses schistes et ses sols de ph acide. Ceux qui ne connaissent pas penseront : rosé pâles de Provence, tiolés, sans élevage et bridés au SO2 comme c’est le cas dans la majorité des propriétés de ce secteur... Mais non, Malherbe a toujours été un écrin singulier mené par la famille Ferrari qui a toujours été un peu à contre-courant des modes et des pensées de l’œnologie moderne. Il y a 10 jours, j'ai participé à une masterclass organisée par le domaine et commentée par Olivier Poussier, Meilleur sommelier du monde 2000. Un moment fort puisqu’au travers de cette dégustation beaucoup de sommeliers ont témoigné du passé de Malherbe, de ses blancs exceptionnels au vieillissement et de ces sémillons sur schiste qui emmènent vers des plaisirs rares avec le temps. Mais le passé est le passé et ce qui compte, c’est l’avenir. J’ai, pour ma part, été totalement happé par la proposition du domaine où rayonnent de multiples cuvées toutes plus bluffantes les unes que les autres. Les blancs, mêmes jeunes sur la Pointe du Diable, ou les rosés sont saisissants de sincérité et d’ouverture. La montée en gamme dans les rouges est tout aussi spectaculaire avec notamment le rouge de Malherbe en vendange entière que je situerai à mi chemin entre un pinot façon Pacalet (floral, épicé) et une grenache infusée, sans oublier cette cuvée hommage « Madame Ferrari » qui livre un vin totalement contemporain à base de blancs et rouges complantés. Ses parfums, sa trame digeste et parfumée ont répondu à la question que tout le monde se posait en arrivant : c’est la révolution à Malherbe et jamais les rouges n’ont été aussi définis et vibrants qu’aujourd’hui ! Plongez vous vite dans le j’achète pour saisir les nuances !" 

 

LE FIGARO VIN – Alicia Dorey

Chaque semaine, Le Figaro Vin vous présente ses vins coups de coeur. Aujourd'hui, lumière sur la cuvée Grand Blanc 2020, qui marque une petite révolution au château Malherbe.

Philippe Pacalet dans la vigne, vigneron emblématique de Bourgogne :

À première vue, rien ne semble distinguer cette propriété viticole de Bormes-les-Mimosas des autres domaines qui irriguent les Côtes de Provence de leurs rosés, rouges et blancs. Il faudra être bien renseigné pour savoir que, depuis quelques années, l’une des figures de la Bourgogne fait quelques infidélités à Beaune pour rejoindre les abords de Bormes. Ainsi, 2020 aura marqué un tournant pour Château Malherbe, avec l’arrivée du vigneron Philippe Pacalet, désormais aux côtés de la discrète famille Ferrari. Il y distille ses judicieux conseils, à la vigne comme au chai, et parvient à élever en toute confidentialité des vins dont l’éclat aura bien du mal à rester longtemps secret. Parmi les plus belles performances, cet assemblage de vieilles vignes de rolle et de sémillon, ayant grandi sur des sols d’argiles bruns, rouges, et de schistes argentés, sur les contreforts du cap Bénat. Sous une robe d’un jaune doré comme une brioche, un nez de fruits exotiques, d’herbes séchées et d’aubépine, qui s’ouvrent encore davantage en bouche, ourlés de notes de vanille, une douceur langoureuse et la correspondance printanière de mimosa en fleur.

 

TERRE DE VINS – juin 2023Frédérique Hermine

Madame Ferrari : le domaine du 1 Route du bout du monde (ça ne s’invente pas), a élaboré un nouveau rouge hors cadre à partir des plus vieilles vignes plus que cinquantenaires. Philippe Pacalet et la nouvelle équipe avaient lancé les essais à partir de 2020 pour créer une cuvée à partir de trois cépages cofermentés, mourvèdre grenache et vieux cinsault complétés de vieux rolle. L’assemblage est élevé 10 mois en pièces bourguignonnes de plusieurs vins...de la Maison Pacalet. Un rouge qui se veut signature « mais à l’opposé des hauts de gamme de domaines traditionnellement puissants et boisés », souligne Sébastien Ferrari. Acidulé et croquant sur les fruits rouges, un zeste d’orange, des parfums de garrigue et d’eucalyptus, il est frais et minéral tout en restant sudiste. Il a été baptisé Madame Ferrari « car c’est sans doute le rouge dont ma mère avait rêvé ».

 

LA REVUE DU VIN DE FRANCE – août 2023 – Karine Valentin

Sébastien Ferraria été rejoint en 2022 par Jean Laburthe, chef d’exploitation. À la pointe du cap Bénat, derrière le fort de Brégançon, le terroir de Malherbe se partage en deux parcelles distinctes plantées de part et d’autre du château: une zone argilo-schisteuse à l’ouest, une zone plus limoneuse, avec des éclats de quartz, à l’est, tous les deux face à la mer aux influences salvatrices. Sébastien Ferrari, le propriétaire, et Jean Laburthe valorisent ce magnifique potentiel grâce à des complantations en massales, qui permettent de remplacer les raisins qui peuvent manquer et une viticulture en biody namie certifiée depuis 2021. La cave est organisée de manière à vinifier chaque parcelle avec justesse.

 

Grand blanc 2020

 

LE FIGARO – février 2023 – Alicia Dorey

Grand blanc 2020 : Pour ce domaine viticole de Bormes-les-Mimosas, 2020 aura été un véritable tournant, avec l’arrivée du célèbre vigneron bourguignon Philippe Pacalet aux côtés de la famille Ferrari. Ici, un assemblage de vieilles vignes de rolle et de sémillon, ayant grandi sur des sols d’argiles bruns, rouge et de schistes argentés sur les contreforts du cap Bénat. Sous une robe d’un jaune doré comme une brioche, un nez de fruits exotiques, d’herbes séchées et d’aubépine, qui s’ouvrent encore davantage en bouche, ourlés de notes de vanille, une douceur langoureuse, la correspondance étonnante de mimosa en fleur.

 

LE FIGARO MAGAZINE – mai 2023 – Alicia Dorey

Grand blanc 2020 : Parmi les plus belles performances, cet assemblage de vieilles vignes de rolle et de sémillon, ayant grandi sur des sols d’argiles bruns, rouges, et de schistes argentés, sur les contreforts du cap Bénat. Sous une robe d’un jaune doré comme une brioche, un nez de fruits exotiques, d’herbes séchées et d’aubépine, qui s’ouvrent encore davantage en bouche, ourlés de notes de vanille, une douceur langoureuse, et la correspondance printanière de mimosa en fleur..

 

LUXE MAGAZINE – octobre 2023 – Katya Pellegrino

Grand blanc 2020 : Assemblage des cépages Sémillon et Rolle, Grand Vin Blanc 2021 revêt une magnifique robe or. Le nez, intense et complexe, dévoile des arômes de résines, de réglisse et des essences de bois, témoignant de la noblesse de ce vin. En bouche, complexité, structure et gourmandise caractérisent la dégustation. Des notes d’épices telles que la cardamone et la muscade apportent une finale fraîche et légèrement rythmée par de jolis amers.

 

CUISINE ET VINS DE FRANCE – novembre 2023 – Sophie Menut

Grand blanc 2020 : Ancienne ferme du château de Brégançon, ce magnifique domaine en biodynamie en bord de mer, sur un terroir exceptionnel, produit ce vin à la fois frais et opulent, aux notes subtilement boisées, enrichi d’épices, muscade et une belle finale salivante à ouvrir avec des pâtes aux coquillages ou une volaille rôtie.Le cabernet franc lui apporte sa robe rubis sombre et sa profondeur en bouche.

 

LA PROVENCE – octobre 2023 – Guénaël Lemouee

Grand blanc 2020 : En bordure de la belle route du Bout-du-Monde qui se termine sur la plage du Cabasson, à deux pas du fort de Brégançon, Malherbe profite de l’un des plus beaux terroirs de Provence. La Méditerranée toute proche régule le climat des parcelles et les vins y gagnent un équilibre et une finesse exceptionnels. En témoigne ce blanc de rolle et sémillon issus des vignes du haut du domaine. Des notes gourmandes d’épices douces structurées par de beaux amers ravissent le palais et appellent une belle volaille rôtie, une nage d’écrevisses...

 

FORBES – novembre 2023 – Katya Pellegrino

Grand blanc 2020 : Assemblage des cépages Sémillon et Rolle, Grand Vin Blanc 2021 revêt une magnifique robe or. Le nez, intense et complexe, dévoile des arômes de résines, de réglisse et des essences de bois, témoignant de la noblesse de ce vin. En bouche, complexité, structure et gourmandise caractérisent la dégustation. Des notes d’épices telles que la cardamone et la muscade apportent une finale fraîche et légèrement rythmée par de jolis amers.

 

L’EXPRESS – novembre 2023 – Philippe Bidalon

Grand blanc 2020 : La discrète famille Ferrari s'est adjoint les conseils du célèbre vigneron Philippe Pacalet pour vinifier une partie de ses cuvées, dont ce blanc issu d'un assemblage de rolle et de sémillon. Les jus sont élevés pour partie en demi-muid de 600 litres, en foudre de 2,5 hectolitres, en cuve inox et en oeuf béton. Le vin exhale des notes florales, de fruits à chair blanche, de pèche et de mandarine. Frais et équilibré, il libère une touche citronnée en finale.

 

Madame Ferrari

 

FORBES – juin 2023 – Katya Pellegrino

Madame Ferrari 2021 : Ce rouge raffiné est le vin dont rêvait Madame Ferrari, 3 ème génération de la Famille Ferrari à la tête du domaine. Et le premier millésime de cette cuvée tient ses promesses ! La Cuvée Madame Ferrari 2021 est un assemblage à proportions égale de cépages Mourvèdre, Grenache, Cinsault et Rolle, issus des plus vieilles parcelles du domaine. La robe rubis, claire et brillante, présage une dégustation complexe et aromatique. Un bouquet floral de rose et tubéreuse, complété par des notes fruitées d’orange sanguine et de cerises, se dévoile au nez. Des touches de garrigue méditerranéenne se révèlent au second nez. En bouche la dégustation se révèle racée, élégante et gourmande.

 

FORBES – novembre 2023 – Katya Pellegrino

Madame Ferrari 2021 : Assemblage à proportion égale de Mourvèdre, Grenache, Cinsault et Rolle, issus des plus vieilles parcelles du domaine, Madame Ferrari 2021 séduit par sa robe couleur rubis, claire et brillante. Au nez se dévoile un bouquet floral complexe mêlant la délicatesse des roses aux notes fruitées d'orange sanguine. Des arômes de cerise, de garrigue et d'eucalyptus complètent cette riche palette aromatique.

 

 

Pointe du Diable

 

TERRE DE VINS – juillet 2023 – Frédérique Hermine

Pointe du Diable : Certifié Demeter depuis 2021, le domaine des Ferrari, ancienne ferme du fort de Brégançon, fait face à la grande bleue. Après avoir abandonné quelques années le blanc sur ses parcelles littorales de la pointe du Diable, il ressort un ugni blanc-sémillon ciselé sur des notes de tilleul, d'écorces de citron et une allonge saline. • Une terrine d'asperges.

 

 

Château Malherbe Rosé 2022

 

BON – Juin 2023 – Aymone Vigière d’Anval

Château Malherbe Rosé 2022 : Un assemblage de vieilles vignes de grenache et cinsault pour cette cuvée à la large gamme aromatique. Un véritable rosé de gastronomie, aux notes florales et d’épices et à la fraîcheur toute vive au palais.

 

HOMME DELUXE – juin 2023 – Eric et Michèle Vincent

Château Malherbe Rosé 2022 : flacon lumineux et robe aguichante, qui évoque droiture et complexité. Paré de ses notes de marjolaine, de menthe et d’eucalyptus, il permet de boire aux vacances sereines en oubliant les déboires de la politique élyséenne.

 

LES ECHOS – juin 2023 – Carla-Elle Rogosky

Château Malherbe Rosé 2022 : Conduit en biodynamie, le domaine Malherbe, propriété de la famille Ferrari, signe une cuvée réussie. Assemblage de grenache et cinsault, le vin aux notes miellées offre beaucoup de souplesse en bouche, avec des éclats zestés de bergamote. L’acidité est fine et accompagne le vin en longueur et avec une mâche subtile de framboise.

 

PARIS MATCH – juin 2023 – Louis-Victor Charvet

Château Malherbe Rosé 2022 : Assemblage plein de charme et de complexité qui réunit grenache et vieilles vignes de cinsault. Nez ouvert, notes fraîches de petits fruits rouges, touches d’épices et ce caractère droit en bouche qui lui donne autant d’allonge que de classe. On le sert avec des rougets.

 

EN MAGNUM – juillet/août 2023 – Louis-Victor Charvet

Château Malherbe Rosé 2022 : On ne peut plus ignorer le retour aux premiers rangs dans la hiérarchie des domaines provençaux de ce domaine tenu avec soin par la famille Ferrari. Cet assemblage de vieilles vignes de grenache et de cinsault exprime une personnalité aromatique rarement rencontrée dans l’appellation. Fraîcheur et pureté communes à tous les vins produits par le domaine, brillant ces derniers millésimes dans toutes les couleurs.

 

3 ETOILES – juin 2023 – Valérie Faust

Château Malherbe Rosé 2022 : En bordure de Méditerranée, sur les terres de l’ancienne ferme du fort de Brégançon, la famille Ferrari cultive la vigne depuis quatre générations. Au nez de ce rosé pâle, des arômes de fraise des bois, d’eucalyptus et d’épices (poivre). D’une belle fraîcheur mentholée, la bouche large, aromatique, droite, est également douée de puissance. Le tout s’enlace étroitement pour fusionner dans un jeu respectant l’équilibre entre tension et douceur. Un rosé apte au vieillissement qui escorte à merveille un dessert autour de la fraise, de la vanille et du pamplemousse.

 

VIGNERON – septembre/octobre 2023 – Jean-Luc Barde

Château Malherbe Rosé 2022 : Il faut maintenant compter parmi les rosés originaux et pulpeux de la Provence maritime ce château, propriété de la famille Ferrari, qui fait depuis quelques années un sans-faute sous les conseils éclairés du vigneron bourguignon Philippe Pacalet. L’ami de la famille s’y entend question mise en valeur du terroir. Des sélections massales en complantation, la biodynamie pour aérer les sols et le végétal, une cave imaginée pour valoriser les micro-parcelles: la trilogie est vertueuse. Elle se double d’un terroir de schistes qui dans un souffle maritime rend à la couleur un volume redressé d’une tendre amertume, d’une finale saline et d’un fruit savoureux.

 

THE GOOD LIFE – juillet 2023 – Sylvain Ouchikh

Château Malherbe Rosé 2022 : Voici l’un des plus discrets et des plus beaux vignobles de La Londe-les-Maures, proche du fort de Brégançon, en Provence. C’est un domaine quasi encastré dans une baie, avec la mer qui caresserait presque les vignes. La sélection est parcellaire, afin de mieux vouer chaque pied de vigne à une élaboration précise. Pour ce rosé, ce sera le grenache de la parcelle n° 14 et le cinsault de la n°13. Le résultat ? Une robe d’un rose affirmé. Le nez dévoile un vin gourmand. On ressent immédiatement que le plaisir sera au rendez-vous.

 

LE MONDE – juin 2023 – Rémi Barroux, Stéphane Davet, Laure Gasparotto, Ophélie Neiman

Château Malherbe Rosé 2022 : Site préservé en front de mer, cette ancienne ferme du fort de Brégançon est désormais un magnifique domaine viticole, avec 25 hectares de vignes. Le rosé est, à son image, d’une grande élégance. Il faut l’aérer un peu pour qu’il se révèle avec un côté salin, presque iodé, et beaucoup de tension. Biodynamie.

 

LE JOURNAL DU DIMANCHE – juin 2023 – Louis-Victor Charvet

Château Malherbe Rosé 2022 : En biodynamie, cette propriété caresse la Méditerranée, autour du fort de Brégançon. La famille Ferrari en a fait l’un des meilleurs domaines avec des vins de style, comme ce rosé de vieilles vignes sur argiles et schistes.

 

BETTANE + DESSEAUVE – octobre 2023 – Louis-Victor Charvet

Château Malherbe Rosé 2022 : On ne peut plus ignorer le retour aux premiers rangs dans la hiérarchie des domaines provençaux de ce domaine tenu avec soin par la famille Ferrari. Cet assemblage de vieilles vignes de grenache et de cinsault exprime une personnalité aromatique rarement rencontrée dans l’appellation. Fraîcheur et pureté communes à tous les vins produits par le domaine, brillant ces derniers millésimes dans toutes les couleurs.

 

 

2022

 

La Revue du Vin de France - Octobre 2022 : Alexis Goujard.

" Cette splendide propriété de Bormes les Mimosas connâit un nouveau souffle. Le Directeur technique a changé. Le brillant vinificateur bourguignon Philippe Pacalet prodigue désormais ses bons conseils, notamment pour ce vin de grenache, mourvèdre, cinsault et un peu de vermentino, vinifié en grappes entières et élevé un an en fûts. C'est un rosé (ou un rouge léger selon notre interprétation)  haut en couleur, magnifiquement floral, au parfum intense, avec une texture déliée, tout en relief. Un profil que l'on croisait davantage en Vallée du Rhône, mais qui a toute sa place pour les amoureux de grands vins de Provence". Cuvée Mme Ferrari 2021.

Terre de vins - Juillet 2022 : Sylvie Tonnaire.

"Le domaine est passé en biodynamie avec l’aide de l’Alsacien Jannick Utard, puis du Bourguignon Philippe Pacalet et du Rhodanien Jean Laburthe. Le domaine des Ferrari, dans l’ancienne ferme de Brégançon, a adopté depuis 2020 des vendanges manuelles avec tri à la vigne en grappes entières et vinification en levures indigènes. C’est désormais une sélection des plus vieux grenaches de 80 ans et des cinsaults quinquagénaires qui entrent dans la composition de cette cuvée puissante et épicée sur les fruits jaunes bien mûrs, les zestes de citron et d’orange et une finale saline."

L'Epicurien - Juillet 2022

"La famille Ferrari veille sur les destinées de ce domaine aujourd'hui en biodynamie depuis plus de 80 ans. La Malherbe, superbement située entre la mer et la montagne, a été pendant des siècles la ferme du fort de Bregancon, plantée en polyculture. Récoltes parcellaires, vendanges exclusivement manuelles, Château Malherbe a toujours eu à coeur de produire du vin avec des méthodes exigeantes. Le blanc arbore une obe pâle s'accompagne d'un nez riche et distingué, sur de belles notes d'agrumes (pamplemousse) et une fraîcheur minérale. Bien structuré en bouche, son beau volume est séduisant, tout comme sa finale aérienne avec une légère sensation florale et des notes de sarriette des maquis. La finale est gourmande et ample, laissant une réelle impression de fraîcheur. Le rosé du Château Malherbes, une robe pétale de rose lumineuse aux reflets saumonés. Après aération, le nez s'exprime de manière plaisante et élégante,  avec des notes florales complétées de touches épicées et des notes plus discrètes de fruits du verger (abricot - pêche). Après une attaque nette, la bouche procure une sensation d'équllibre et de fraîcheur, sur des notes d'amandes, gourmandes. Une finale persistante et séduisante. Le rouge, robe d'un rouge rubis intense et lumineux. Une belle palette aromatîque entre baies  sauvages et notes épicées. L'attaque est bien droite, suivie d'une bouche fruitée, dotée d'une bonne ampleur, le tout sur un bel équilibre. Une finale longue et savoureuse et épicée (poivre) aux tanins encore présents."

The Good Life - Juillet 2022 : Sylvain Ouchikh.

"La propriété de 25 ha est à proximité du fort de Brégancon. Les vignes de la pointe du Diable ont presque les pieds dans la Méditerranée. L’endroit n'a rien de maléfique, bien
au contraire. II serait plutôt bucolique et inciterait à la rêverie. Pourtant, le travail est une valeur ici, car Sébastien Ferrari, le propriétaire, souhaite des vins avec une vraie personnalité. La robe de ce rosé scintille. Elle a un nez intense sur  le pamplemousse et le citron. L'été n'est pas loin. En bouche, le croquant du fruit se mêle à la fraîcheur. Il y a de la tension dans l’air. La finale longue, surtout saline, nous rappelle que les vagues douces de la grande bleue ne sont pas loin."

Le Monde - Juin 2022

"Une belle robe rosée assumée : oui, elle est vraiment rose, tout juste atténuée par la présence d’un peu de sémillon, un peu de blanc dans un ensemble dominé par le grenache. Un Pantone tranché pour souligner un uni vers d'herbes aromatiques qui se répand au nez et sur le palais. Un vin très appétissant à la finale"

Le Journal du Dimanche - Juin 2022 : Louis Victor Charvet.

"Que de progrès réalisés par cette propriété depuis 10 ans. Sous la houlette de Sébastien Ferrari, Malherbe est en train de se hisser au plus haut niveau, notamment pour le caractère singulier des vins proposés. Des rosés vibrans et en finesse".

Le Figaro - Juin 2022 : Pierre-Olivier Deschamps.

"Un vin à la robe claire mais lumineuse, qui dévoile un nez aux arômes de citron, de pamplemousse, d’épices et d’herbes aromatiques chantant la Provence, avec en bouche quelques notes iodées pleines d’harmonie."

Paris Match, le choix Bettane et Desseauve - Juin 2022 : Louis Victor Charvet.

Il y a dans ce vin, cette propriété, quelque chose qui tient du miracle. Et puis, non, ce ne sont que talent et travail et encore et sans cesse.Malherbe a tout changé en quelques millésimes et le résultat en a décoiffé plus d'un. Les dégustateurs les plus tâtillons sont, pour une fois, unanimes. C'est clair pour tous le monde, le rosé Pointe du Diable est un modèle du genre; pas un rosé de piscine.

Bettane et Desseauve - Avril 2022 : Hicham Abou Raad.

"Propriété de la famille Ferrari depuis plusieurs générations, géré par Sébastien Ferrari depuis 2007 et voisin direct du Fort de Bregançon, le château Malherbe est une propriété provençale d'une vingtaine d'hectares divisée en deux terroirs distincts : la pointe-du-diable, en front de mer, est constitué de limons anciens chargés de quartz qui offre des vins avec une expression fraîche et légèrement iodée ; malherbe, au pied du cap Bénat, une des pointes argilo-schisteuses situées à l'extrême sud du massif des Maures, se distingue par une belle complexité, une grande vivacité et une jolie longueur en bouche. Sébastien Ferrari fait appel au talentueux Philippe Pacalet, adepte des vins vinifiés sans soufre et en vendange entière. Le millésime 2020 est le fruit de cette collaboration. Il marque un tournant et une vraie volonté de la part de la famille de produire des vins d'exceptions. Ce malherbe rosé 2020 est un assemblage de vieux grenache, cinsault et mourvèdre cultivés en agriculture biologique et en biodynamie. Il se caractérise par une couleur rouge grenat, de la brillance et des nuances légèrement tuilées."

RVF - Novembre 2021 : Alexis Goujard.

« Cette splendide propriété appartenant à la famille Ferrari a pris un virage stylistique loin des standards des côtes de Provence. Avec son Grand Rosé 2020, Malherbe a un coup d’avance. […] Ce vin gracieux offre la complexité méditerranéenne d’un rouge et la finesse digeste d’un rosé ».

Sommeliers International - Automne 2021 : Florence Corbalan.

« Sébastien Ferrari […] s’investit de tout son cœur pour que la nature continue à donner le meilleur d’elle-même et pour que les vins expriment cette terre protégée et vivante. Le pari est réussi ».

Les Echos Weekend - Juillet 2021 : Sylvain Ouchikh.

« Ce domaine familial appartient à la famille Ferrari depuis 1940. Il fait face à la mer dans un site d’une grande beauté.

En toute discrétion, le vignoble est remarquablement travaillé puisqu’il est en agriculture biologique certifiée. On ne badine pas avec la qualité… ».

Magazine Vigneron - Été 2021 : Birte Jantzen.

« Si depuis longtemps les vins de Malherbe comptent parmi les pépites de Provence, l’année 2019 a marqué un tournant. […] Sébastien Ferrari décide d’aller plus loin afin d’avancer en totale harmonie avec le terroir. La conversion en biodynamie est entamée. […] L’approche se veut également plus exigeante en cave où les grandes cuves laissent la place à de plus petits contenants permettant un travail parcellaire »